Les agriculteurs ont entamé un bras de fer avec le gouvernement pour dénoncer le manque de considération à leur égard, la hausse de leurs coûts de production et la multiplication des normes européennes qui, disent-ils, entravent leur travail.
Le Premier ministre Gabriel Attal tente de désamorcer le mouvement tandis que le Rassemblement national espère le récupérer, à six mois des élections européennes.
Réaction de Jean-Maxime Corneille, analyste politique français.