À la tribune de la 78e session de l'Assemblée générale des Nations unies (AGNU), le président iranien a fait savoir que l'humanité entre dans une nouvelle ère. Les anciennes puissances sont en déclin. Elles sont le « passé » et nous sommes « l'avenir ».
Le président a condamné la profanation du Noble Coran au début de cette année en Suède et au Danemark. Il a également dénoncé certains États occidentaux qui « utilisent le terrorisme comme instrument de politique étrangère ».
Analyse de ce discours avec Ghada Houbballah, géopoliticienne à l'Université islamique du Liban.