Comme au Mali et au Burkina Faso, le coup d'Etat mené par l'armée nigérienne pour déposséder le président Mohamed Bazoum du pouvoir est intervenu sur fond de ressentiment à l'égard de la France, ancienne puissance coloniale accusée d'interférer dans les affaires du pays.
Luc Michel, géopoliticien et Jean-Maxime Corneille, expert des questions politiques, se débattent sur ce sujet.