Les députés belges ont ratifié, mercredi soir, un traité belgo-iranien sur le transfert de condamnés.
Défendu par le gouvernement qui l’a présenté comme le seul moyen de faire libérer un travailleur humanitaire belge otage depuis cinq mois à Téhéran, le texte avait déjà été approuvé en commission le 6 juillet.
Est-ce une marche arrière occidentale face à l’Iran ?
La Belgique ou encore son voisin français, cherchent-ils ainsi à trouver une échappatoire aux sanctions ?
Luc Michel, géopoliticien, nous en dit plus.