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1-Au Royaume d'Elizabeth II le ridicule ne tue pas !
Le gouvernement britannique a annoncé lundi 31 janvier avoir retiré les noms de quatre Iraniens de la liste des sanctions. Parmi ces personnes, trois sont décédées.
Le bureau des sanctions financières du département du Trésor a déclaré dans un communiqué que le Foreign Office avait mis à jour sa liste de sanctions gouvernementales le 28 janvier.
La déclaration ajoute que les quatre personnes suivantes ont été retirées de la liste des sanctions et ne feront plus l'objet d'une confiscation d'actifs : 1- Ahmad Zargar 2- Hassan Haddad 3- Mohammad Hejazi et 4- Seyed Hassan Firoozabadi.
M. Haddad, M. Hejazi et M. Firoozabadi sont morts. Ils figuraient tous sur une liste de sanctions britanniques en raison de leur implication dans des violations des "droits de l'homme".
Les rapports occidentaux sur les droits de l'homme ont été dénoncés pour leur mauvaise méthodologie, leur politique de deux poids, deux mesures, leur partialité et leur mépris du principe de neutralité, leur mépris de la culture indigène et des modes de vie d'autres communautés et leur ingérence dans les affaires intérieures des pays.
La Grande-Bretagne impose des sanctions à d'autres pays en raison d'allégations relatives aux droits de l'homme, invoquant des atteintes aux droits des minorités, la promotion de l'islamophobie, la discrimination économique et sociale, la situation des prisonniers, l'atteinte à la souveraineté et à l'indépendance des pays et l'ingérence dans les affaires intérieures d'autres pays. Les questions relatives aux droits de l'homme soulèvent de vives critiques.
Source : Fars news
2-Macron : les Françaises vont-elles encore se faire avoir ?
Des détails émergent concernant les dîners des donateurs finançant la campagne du non-candidat Macron.
Site internet, milliers d'affiches de soutien postées, mais aussi collecte de fonds. Europe 1 a révélé des détails sur la collecte de dons pour financer la campagne présidentielle d'Emmanuel Macron en cours depuis des mois, alors même qu'il tarde à officialiser sa candidature.
La campagne présidentielle d'Emmanuel Macron démarre déjà bien qu'elle reste muette quant à son nom. Europe 1 a donc relayé le 31 janvier quelques détails sur l'organisation de dîners de donateurs et les moyens pour se financer.
Comme l'affirme la radio, les Marcheurs suivent la même recette qu'en 2017 pour lever des fonds, à savoir des dîners réunissant de riches donateurs.
Ainsi, poursuit Europe 1, des repas sont organisés les soirs de semaine dans des appartements privés de la capitale, mais aussi dans l'ouest parisien. Et d'ajouter qu'ils se sont multipliés ces dernières semaines avec la participation de certains ministres et secrétaires d'État.
Un poids lourd du gouvernement a confirmé à la radio avoir participé à deux réunions de ce type la semaine dernière. Un autre membre du gouvernement a confié avoir récolté 175 000 euros en l'espace d'une soirée.
Selon les informations relayées par Europe 1, le seuil maximal de dons autorisé est de 7 500 euros par personne pour les membres du parti, auxquels s'ajoutent 4 600 euros pour le candidat.
Répétition de scénario
Il est également précisé que le cérémonial de ces réunions nocturnes est souvent organisé par Christian Dargnat. Ce n'est pas un hasard, puisque cet ancien banquier d'affaires avait déjà œuvré pour lever des fonds pour la campagne du candidat Macron en 2017.
Déjà à l'automne 2021, des médias comme Le Parisien et Le Journal du Dimanche avaient rapporté que LREM s'était lancé dans la réactivation auprès des financiers de la campagne de 2017, avec l'objectif de cinq millions d'euros. Une société notamment créée par M.Dragnat, ancien PDG de BNP Paribas Asset Management, mais aussi ex-président de l'European Asset Management Association.
"Candidat masqué"
" À quoi pourrait ressembler le débat du premier tour ? 12 candidats cherchant leur 'moment' avec le président pendant 1h50, qui disposerait de 10 minutes pour leur répondre", a déclaré Gabriel Attal sur un ton sceptique le 29 janvier dans une interview au Parisien.
Si l'entourage du président sortant ne voit pas l'intérêt pour lui de participer aux débats du premier tour, les candidats eux insistent.
"Il doit rendre des comptes sur son bilan calamiteux, sur l'état de notre école, sur l'état de notre hôpital, sur l'état de notre justice, sur la violence qui monte dans les rues, sur l'immigration incontrôlée", a déclaré Valérie Pécresse, candidate de la droite, dans l'émission Dimanche en politique sur France 3.
Demandant "solennellement un débat avec Emmanuel Macron", la présidente de la région Île-de-France a espéré "qu'il [accepte]".
Le président par intérim du Rassemblement national, Jordan Bardella, est du même avis. Pointant du doigt "le manque de respect des Français" et "le manque de considération pour la démocratie", il estime que le président sortant "reste caché."
"Le président ne pourra pas se cacher éternellement tel un candidat masqué", a jugé pour sa part le président (LR) du Sénat, Gérard Larcher.
Si le nouveau site internet avecvous2022.fr a été lancé il y a quelques jours, le nom d'Emmanuel Macron n'y apparaît pas du tout. Pourtant, ce même slogan, "Avec vous", est actuellement largement utilisé par les Marcheurs, le hashtag étant massivement relayé sur les réseaux sociaux.
Il est aussi apparu sur les affiches placardées dans la nuit du 26 au 27 janvier dans 16 grandes villes.☀️ Ce matin, nous sommes #avecvous au marché de la Ronde-Couture à Charleville-Mézières.
Merci aux @jeunesmacron08 et aux militants de la majorité pour leur mobilisation. #Macron2022 pic.twitter.com/nmdwoSCC2r — Ambroise Méjean (@Ambroise_Mejean) January 30, 2022
Autre point dénoncé par les opposants, alors que l'élection présidentielle débute dans quelques semaines, le fait qu'Emmanuel Macron a déjà reçu les parrainages de plusieurs parlementaires et élus locaux.
"Comment parrainer une personne qui n'est pas officiellement candidate ? C'est donc qu'il l'est... et il détourne ainsi les règles démocratiques du débat (temps de parole, financement public, etc.) Est-ce tolérable ?" a commenté l'Insoumis Alexis Corbière.
Source : Sputnik
3-Ukraine: le non de la Hongrie à l'OTAN
En Hongrie, la locomotive du train conspirationniste de Soros, dont la mission est la sionisation de la planète terre entière, en commençant par l'Allemagne, s'est grippée
L'Allemagne, autrefois germanique et donc fortement attachée à la morale chrétienne, a été sélectionnée après la Seconde Guerre mondiale pour devenir le tout premier atelier où George Soros a pu mener ses expériences d'ingénierie sociale.
Ce schéma conspirationniste, désormais répandu dans le monde entier, conçu et mis au point par le sioniste Soros, est devenu une réalité quotidienne, comme par exemple via l'homosexualisation de l'église autrefois chrétienne dont le dernier né est le mouvement LGBT.
C'est comme si nous revivions une prostitution du Temple de Salamon, la ville divine et modèle comme l'aurait dit Jésus sur l'esplanade du Temple.
En résumé, le ministre hongrois de la Défense a exprimé son opposition au renforcement de l'OTAN sur son territoire dans le contexte des tensions autour de l'Ukraine. Il a également confirmé l'opposition de Budapest à l'adhésion de Kiev à l'Alliance.
Dans une interview accordée au média hongrois InfoRadio le 27 janvier, le ministre magyar de la Défense, Tibor Benko, a déclaré que son pays ne demanderait pas de renforts de troupes de l'OTAN sur son territoire, et qu'il s'opposait à l'adhésion de l'Ukraine à l'Alliance atlantique.
Le ministre a déclaré que les États-Unis et l'OTAN ont négocié des déploiements de troupes supplémentaires avec tous les États membres de l'OTAN limitrophes de la Russie ou de l'Ukraine. Toutefois, Budapest estime que sa propre armée est capable d'assurer elle-même la sécurité requise sans l'aide des troupes de l'OTAN.
Tibor Benko a commenté la situation : "La Hongrie a déjà créé une force nationale il y a longtemps, elle a développé de telles capacités nationales et, dans la situation actuelle, il n'est pas nécessaire de compter sur d'autres forces et troupes étrangères.... Nous ne considérons pas approprié - et nous ne demandons pas - que des renforts de l'OTAN soient déployés ici. Nous pouvons nous en charger.
Le 28 janvier, le président américain Joe Biden a déclaré aux journalistes qu'il prévoyait d'envoyer "bientôt" un petit nombre de soldats américains en Europe de l'Est.
Ces déclarations s'inscrivent dans un contexte de fortes tensions entre l'Occident et Moscou au sujet de la sécurité en Europe. Depuis plusieurs semaines, Washington et certains de ses alliés accusent la Russie de préparer une invasion du territoire ukrainien, ce que Moscou dément catégoriquement. De son côté, la Russie exprime des craintes pour sa sécurité, liées à l'expansion de l'OTAN à l'est et à la perspective de livraisons d'armes offensives au pays voisin, l'Ukraine. Dans ce contexte, Moscou a proposé à Washington et à l'OTAN des traités qui verraient l'Alliance atlantique renoncer à toute expansion vers l'est et revenir à l'architecture de sécurité construite en Europe après la fin de la guerre froide. Jusqu'à présent, l'Occident a refusé les demandes russes, invoquant la nature défensive de l'Alliance atlantique, d'une part, et la souveraineté des États, qui doivent rester libres de choisir leurs alliances, d'autre part.
Source : Réseau international
4-Ukraine: Biden aura sa guerre?
Pourquoi des soldats américains sont-ils photographiés avec des lance-roquettes à la main en Ukraine ?
Alors que Moscou négocie avec les États-Unis sur les garanties de sécurité et insiste pour ne pas déployer de militaires et d'armements près de ses frontières, des soldats américains ont été vus dans un champ de tir en train d'entraîner les Ukrainiens à détruire des chars russes.
Les négociations entre la Russie et les États-Unis sur les garanties de sécurité ont eu lieu il y a une semaine et pourraient se poursuivre cette semaine.
À l'ordre du jour figurent les propositions russes en matière de sécurité, notamment le non-déploiement de forces armées et d'armements dans des zones où cela pourrait être interprété comme une menace pour l'autre partie.
Dans le cas de la Russie, l'Ukraine fait partie de ces zones, une situation qui n'empêche pas les États-Unis d'y envoyer leurs militaires.
Ces derniers ont été vus dimanche 30 janvier sur un champ de tir à Lviv, près de la frontière entre l'Ukraine et la Pologne.
Le Daily Mail a publié des photos de soldats de la Garde nationale de Floride entraînant les forces ukrainiennes à utiliser des lance-roquettes anti-bunker.
Des munitions pour cibler les chars russes
Selon le quotidien britannique, Washington a envoyé une centaine de ces munitions à Kiev dans le cadre d'une aide militaire visant à dissuader une attaque russe. Environ 200 agents sont actuellement déployés en Ukraine, où les États-Unis maintiennent une présence militaire depuis 2015.
Ils y ont également envoyé 300 missiles antichars Javelin destinés à détruire les chars russes qui, selon les médias occidentaux, pourraient envahir l'Ukraine au cours de la nuit.
L'Estonie enverra les mêmes missiles antichars, tandis que la Lettonie et la Lituanie livreront des missiles antiaériens Stinger, également américains.
Des systèmes antichars portables ont été fournis par le Royaume-Uni. Des soldats britanniques ont également été envoyés en Ukraine pour former les forces armées.
Moscou assure qu'aucune guerre n'est envisagée
Le 28 janvier, Sergueï Lavrov a déclaré dans une interview radio que la Russie ne souhaite pas de conflit. "Si la situation dépend de la Russie, la guerre n'aura pas lieu", a-t-il déclaré.
Lors de la récente réunion des conseillers des chefs d'État et de gouvernement dans le format Normandie, le 26 janvier à Paris, ils ont réaffirmé que les accords de Minsk constituaient la base des travaux proprement dits. Il convient de rappeler que ces accords prévoient le retrait de toutes les forces militaires étrangères du territoire ukrainien.
Source : Sputnik
5-USA/Russie: la guerre nucléaire, proche?
Reporter : La Russie va équiper les missiles hypersoniques Zircon d'ogives nucléaires
Les missiles de croisière tactiques hypersoniques russes "Zirkon" seront équipés d'ogives nucléaires dans un avenir proche. La puissance de cette arme s'en trouvera considérablement accrue. L'information à ce sujet a été relayée par la revue "Reporter".
Selon le journaliste Sergei Marzhetsky, l'OTAN représente actuellement une menace claire pour la Russie avec ses tentatives non seulement d'élargir l'Alliance en incluant l'Ukraine et la Géorgie, mais aussi en augmentant la présence de troupes près des frontières russes. Pour répondre à de telles menaces, la Russie peut facilement transformer les missiles hypersoniques Zircon en armes nucléaires, d'autant plus que le remplacement des ogives, si l'on tient compte des données non officielles, a été prévu par les développeurs russes de ce type d'armes. Selon le journaliste, les missiles hypersoniques Zircon peuvent être beaucoup plus efficaces que le modèle ARK Kinzhal. Cela s'explique par le nombre de ces missiles qui peuvent être embarqués à bord des navires de guerre, et à l'avenir, des sous-marins.
Vous pouvez accrocher une "dague" à un chasseur-intercepteur MiG-31K et la lâcher sur un poste de commandement ou un dépôt de munitions quelque part en Ukraine ou en Europe de l'Est, et un bombardier Tu-22M3 sera capable de prendre quatre de ces missiles en même temps. Les frégates du projet 22350 "Amiral Gorshkov" peuvent facilement tirer sur des cibles côtières avec 16 "Zircons", et dans la version 22350M - avec 48 missiles hypersoniques. Si la distance entre Kaliningrad, par exemple, et Londres en ligne droite n'est que de 881 kilomètres, alors un missile nucléaire hypersonique volera certainement vers Foggy Albion et l'atteindra à coup sûr. Avec des "Zircons" nucléaires à bord, non seulement les SNLE, mais aussi, par exemple, les SNLE des projets 885 "Ash" et 885M "Ash-M" et les sous-marins nucléaires prometteurs "Husky" peuvent représenter un réel danger pour les États-Unis eux-mêmes", - indique le document publié par le "Reporter".
Toutefois, étant donné que les essais de ces armes pour les sous-marins se poursuivront au cours des prochaines années, les ogives nucléaires sur les missiles hypersoniques Zircon, si elles apparaissent, ne le seront vraisemblablement pas avant 2030.
Source : avia-pro.fr