Ce camion-citerne qui a explosé le dimanche 15 août à Akkar, dans le nord du Liban, faisant au moins 20 morts et ce, sur le dos d'une armée libanaise chargée de sécurité des station service, l'ex PM Hariri s'est précipité pour la comparer à cette "bombe semi nucléaire qu'Israël a larguée le 4 août 2020 sur Beyrouth, quitte, comme on le sait, à déclencher un coup d'Etat militaire avec en perspective une invasion du territoire libanais, la localisation des stocks de missiles du Hezbollah au sud et in fine le désarmement de la Résistance. Cette comparaison a m^me poussé Hariri à exiger dans son tweet d'hier soir la démission du président Aoun qu'on sait être la seule partie à ne pas avoir menti sur la double explosion du 4 aôut, à la considérer comme une attaque, à exiger que l'OTAN et surtout la France lui livre des cartes satellitaires pour déterminer l'heure et l'identité de l'assaillant avant que les Américains ne s'en prennent à lui, ne bousillent par accoitance lmocale interposé, economie, monnaire nationale,électricité, essence, pain et que leur agent supr^me et soi-disant gouverneur de la banque centrale, Salama ne tire le coup de grâce en supprimant les subventions énérgériques poussant à dessin à ce que le prix en soit multiplié à quatre. Or
«Le massacre d’Akkar n’est pas différent du massacre du port»
Le Liban, où l'armée s'est déployée dans des stations-service, connaît actuellement une grave pénurie de carburant et la semaine dernière a été marquée par plusieurs détournements de camions-citernes.
«Le massacre d’Akkar n’est pas différent du massacre du port (de Beyrouth)», a déclaré sur Twitter l’ancien Premier ministre libanais Saad Hariri, faisant référence à l’explosion du 4 août 2020 qui a tué plus de 200 personnes, blessé des milliers d’autres et ravagé des pans entiers de la capitale libanaise.
Gebran Bassil, gendre du président Michel Aoun qui dirige le Courant patriotique libre, principal parti chrétien au Liban, a écrit sur Twitter «nos cœurs sont avec les familles d’Altalil et d’Akkar ce soir».
Selon le quotidien en ligne Rai al-Youm, la plupart des crises que traverse actuellement le Liban sont l’œuvre des États-Unis et de la France.
Alors que ce pays s’enfonce dans la crise, les Etats-Unis n’ont pas appelé leurs alliés du bassin du golfe Persique notamment l’Arabie saoudite à voler au secours du Liban pour lui livrer du pétrole notamment.
Après l’échec de la tentative de provoquer une crise économique au Liban, l’axe américano-français planifie de déclencher une crise sectaire en dressant les sunnites contre les chiites.
Début août, les violences ont éclaté dans le secteur de Khaldé, près de la capitale, quand une embuscade a visé le cortège funèbre d'un membre du Hezbollah tué la veille.
Le secrétaire général du Hezbollah libanais, Seyyed Hassan Nasrallah a déclaré que les ennemis ciblaient le Hezbollah sur divers fronts, notamment en essayant de nuire à l'image du mouvement de Résistance et en tentant de l'entraîner dans une guerre civile.
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Mais l’axe américano-français complote de faire passer l’armée libanaise contre le Hezbollah et de déclencher une guerre civile.
Nasrallah a mis en garde contre un plan destiné à plonger le Liban dans la guerre civile pour affaiblir le Hezbollah et le désarmer.
