Au sommaire :
1- Médias de Résistance frappés !
De quoi ont peur les États-Unis ? Et la liberté de parole et d'expression ? Depuis quelques heures et en contradiction flagrante avec la liberté de presse, l’administration américaine a bloqué des sites web proches de l’axe de la Résistance, y compris al-Alam, Press TV et Al-Masirah, Al-Malouma... et la liste continue à s'allonger. Il est désormais clair que la liberté de véhiculer un message autre que celui que véhiculent les médias politiquement-correct fait peur au plus haut point au sionisme international qui a bâti tout un empire médiatique fait de mensonges, de falsification de défiguration de la réalité.
Les sites d’information iraniens al-Alam et Press TV, Al-Massirah yéménite, ainsi que des dizaines d'autres sites d’information irakiens proches de la Résistance ont été bloqués, mardi 22 juin, par l’administration américaine.
Les visiteurs des trois domaines ont été accueillis mardi par un avis indiquant qu’ils avaient été saisis en vertu des lois américaines qui autorisent la confiscation civile et pénale des biens impliqués dans « le trafic de technologie ou de matériel d’armes nucléaires, chimiques, biologiques ou radiologiques, ou la fabrication, l’importation, la vente ou la distribution d’une substance contrôlée ».
L’administration américaine n’a encore publié aucun communiqué pour fournir plus de détails à propos de cette mesure. La liste de tous les sites web saisis n’est pas encore disponible.
Évidemment, cette bataille pour la vérité ne s'arrêtera pas avec cette mesure sans précédent qui prouve de la manière la plus claire qui soit, la fin d'une époque, celle marquée par une opinion internationale qui prenait les racontars de France24 ; de CNN, de BBC... pour l'argent comptant. Même en Israël les colons font plus confiance à Al-Manar et à Al-Ahed qu'à Maariv ou Jerusalem Post sinon comment expliquer cette mesure parfaitement hostile à la liberté d'expression dont prétend être chantre inégalé le "mainstream". Ceci étant, le média-résistance se poursuit de plus belle. Aidez-nous dans cette grande bataille de la vérité.
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2- La France est-elle encore une démocratie ?
En Iran le nouveau président a été élu à 61 pour cent des intentions de vote lors d'un scrutin, le 18 juin, qui a vu les bureaux de vote rester ouverts jusqu'à 3 heures du matin. Et pourtant Paris dans sa première réaction accuse le nouveau président iranien d'exactions anti droit-de-l'hommiste. Certaines informations font aussi état des agissements contre les élections iraniennes au sein de l'ambassade française à Téhéran. Mais la France est-elle encore une démocratie pour s'autoriser ce genre de remarques ?
Lors des élections régionales et départementales 2021, Marine Le Pen a eu moins de suffrages et Emmanuel Macron encore moins. Près de 70% des citoyens français ont refusé de voter pour ces élections régionales, confirmant le discrédit complet du système en place. Ces élections sont une gifle pour les partis politiques français et la démocratie française. La jeunesse en France ne reconnaît et, d’ailleurs, ne connaît pas les élites politiques actuelles. Est-ce que la crise sanitaire a fait tomber le masque ?
En fait, le résultat de ces élections montre que les citoyens français n’ont strictement rien à faire de ce système politique et des partis politiques actuellement en place et que, justement, ils ne sont pas des idiots. D’ailleurs, comme l’indique BFMTV le taux d’abstention chez les 18-34 ans est même de 82%, tout en rajoutant que « près de sept Français sur dix ont choisi de ne pas se déplacer aux urnes en ce dimanche de premier tour des régionales et départementales ». Cette abstention est la plus forte de l’histoire de la Ve République. « 30% des jeunes abstentionnistes ne connaissaient pas les candidats », constate l’Ifop dans un sondage, précisant que 35% d’entre eux ont estimé que ces élections ne « changeraient rien à leur situation personnelle ». 33% ont même indiqué qu’ils n’étaient pas intéressés par ces élections. 32% ont précisé qu’ils votaient « principalement aux élections nationales ».
Il faudra cependant attendre le second tour des élections régionales, qui aura lieu la semaine prochaine, pour connaître le véritable visage de la France politique après les vagues de la Covid-19 sur la population française. Cependant, il semble bien que la crise sanitaire a fait tomber le masque sur le système politique montrant que celui-ci ne sert à rien puisqu’il n’a pas su gérer correctement et surtout humainement la crise. Avec les volontés sécessionnistes de nombreuses parties des populations représentées en France, le pays va sur le chemin d’une refonte de son paysage politique et de ses structures fondamentales. Les élites politiques en place ne représentent pas les Français et les Français l’ont fait, pour le moment, encore savoir de manière pacifique.
Source : reseauinternational.net
3- USA/Russie : la guerre a commencé !
Les troupes américaines ont commencé à bloquer les capacités des armes de missiles russes déployées dans la région de Kaliningrad.
Ces données sont apparues après que nous avons été informés du déploiement du système de défense antimissile au sol AEGIS Ashore en Pologne. Selon les données officielles, l'armée américaine a déjà commencé à déployer le système de défense antimissile AEGIS Ashore sur une base militaire à Redzikovo. Jouissant de l'emplacement géostratégique avantageux de l'installation militaire, les États-Unis seront en mesure de bloquer la plupart des attaques de missiles en provenance de Russie, du moins en théorie.
Cependant, comme l'a montré le récent incident dans l'océan Pacifique, les systèmes de guerre électronique russes ont réussi à prendre le contrôle des missiles anti-missiles, bien que la partie russe n'ait pas officiellement commenté les accusations américaines.
Auparavant, des informations sont apparues selon lesquelles le système américain AEGIS Ashore, en plus de l'interception, peut également être utilisé pour lancer des frappes, ce qui suscite encore plus d'inquiétude, car en fait, toute la région de Kaliningrad pourrait tomber sous les attaques. Les experts notent qu'en réponse au déploiement d'armes américaines, la Russie pourrait déployer des systèmes de missiles tactiques supplémentaires dans la région de Kaliningrad, y compris ceux dotés de nouveaux missiles.
4- Comment l’armée chinoise prépare la guerre
Comment l’armée chinoise se prépare pour devenir la plus puissante du monde
Puissante et nombreuse, l’armée populaire de Chine gagne en influence sur la scène internationale, comme l’exige le président Xi Jinping. Mais c’est aussi une force qui manque d’expérience du combat. Une faiblesse qu’elle entend bien surmonter avant d’attaquer Taïwan.
L’armée chinoise (Armée populaire de libération, PLA) a de l’ambition. Elle aura, prévoit-elle, réalisé sa modernisation totale d’ici à 2035. Et elle sera devenue en 2049, soit 100 ans après l’avènement de la République populaire de Chine, une force militaire de classe internationale.
En avance sur son calendrier
À l’évidence, cette armée est en avance sur son propre calendrier. L’armée de Terre chinoise dispose déjà des effectifs les plus importants au monde, soit 1,3 million de soldats d’active. La marine surclasse, en nombre de bâtiments, l’US Navy et ses 296 unités. L’armée de l’air chinoise est déjà sur le podium mondial, sur la 3e marche certes, mais ambitionnant de gagner des places.
Parité stratégique atteinte avec les États-Unis
Officiellement, son budget militaire ne représente que 1,3 % du PIB. Toutefois, au cours des dix dernières années, la hausse moyenne annuelle de l’enveloppe a été de 8 %. Le budget de la Défense pourrait passer de 174 milliards de dollars en 2019 à 270 milliards en 2023, selon le dernier rapport annuel du DoD, le ministère américain de la Défense qui reconnaît que la PLA surclasse les forces US, non seulement au niveau de la flotte de combat, mais aussi dans les domaines de la défense antiaérienne et des missiles sol-sol balistiques.
Le constat est indiscutable : la Chine a bien atteint la parité stratégique avec les États-Unis.
Toutefois, la parité opérationnelle est loin d’être acquise, le Pentagone conservant une bonne longueur d’avance en termes de fiabilité des armements, de maîtrise du champ de bataille, d’entraînement et d’aguerrissement. Il faut dire que les guerres d’Irak puis les opérations anti-insurrectionnelles en Afghanistan et au Proche-Moyen-Orient ont forgé un outil, critiquable certes, mais redoutable. Ce dont Pékin est bien conscient.
Des soldats d’une brigade aéromobile descendent d’un hélicoptère | CHINAMIL
Pas de bataille depuis quarante-deux ans
L’armée chinoise a livré sa dernière grande bataille en février 1979 et subi une défaite assez embarrassante contre l’armée vietnamienne qui avait envahi le Cambodge. Hormis quelques escarmouches navales (comme en 1998) ou au Cachemire avec l’Inde, cette armée n’a donc pas l’expérience du feu.
Lors de son départ en retraite, en 2018, le général He Lei, commandant adjoint de l’Académie des sciences militaires, a amèrement regretté de ne pas avoir connu le feu. Sa remarque s’inscrivait parfaitement dans la rhétorique officielle de la PLA dont l’organe de presse interne, le PLA Daily, a cité à 565 reprises entre 2012 et 2018, la maladie de la paix.
Une maladie dont les symptômes seraient un certain laxisme de la hiérarchie, un entraînement déficient et un manque de réactivité. Ce sont des travers que le président Xi Jinping lui-même a dénoncés dès 2015 en parlant des cinq incapacités de l’encadrement, qui comprendrait mal les ordres et qui manquerait de l’esprit de jugement, d’initiative, de décision et de combativité.
Xi Jinping exige une aptitude au combat permanente
Depuis 2017, Xi ne cesse donc d’insister sur la préparation opérationnelle, exigeant même en janvier dernier une aptitude au combat permanente.
S’entraîner est donc impératif ; mais le faire en vase clos est contre-productif. C’est pourquoi la PLA recherche toutes les occasions d’acquérir des savoir-faire et de l’expérience. Pékin s’est ainsi massivement engagé dans les opérations onusiennes de maintien de la paix (Liban, Soudan, Mali etc.). C’est pourquoi la PLA n’hésite pas à sortir de son pré carré pour participer à des opérations humanitaires (en Libye pour évacuer des ressortissants) ou à des actions de lutte contre la piraterie maritime (depuis 2008, dans l’océan Indien).
Enfin, les armées chinoises prennent fréquemment part à des exercices binationaux ou multinationaux. Et même avec les forces US qui restent pour les Chinois un modèle à copier, à égaler et à surpasser.
Source : Ouest-France
5- Les talibans attaqueront la Russie ?
Les talibans ont occupé la frontière avec le Tadjikistan et menacent désormais la Russie.
Les talibans (officiellement interdit en Russie - NDLR) ont occupé la frontière avec le Tadjikistan après avoir vaincu un groupe de soldats afghans. Aujourd'hui, la frontière entre le Tadjikistan et l'Afghanistan est contrôlée par des djihadistes qui pourraient bien menacer la Russie.
Il y a quelques heures, le mouvement terroriste des talibans a pris le contrôle de la frontière entre l'Afghanistan et le Tadjikistan. Étant donné que les forces tadjikes ont un contrôle plutôt faible des zones frontalières, la probabilité que des terroristes puissent entrer librement sur le territoire russe est très élevée, alors qu'il existe également des risques d'attaque contre l'armée russe.
Dans la séquence vidéo présentée, vous pouvez voir que les talibans sont près d'un des postes de contrôle, et à en juger par la situation de l'autre côté de la frontière, l'armée tadjike sera en mesure de fournir une véritable opposition aux talibans, bien qu'aujourd'hui il n'y a eu aucune tentative de la part des talibans de pénétrer sur le territoire d'un État voisin.
Source: Avia.pro