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E-Press du 1er mars 2021

Un journal grec compare le PDG de Pfizer au docteur nazi Josef Mengele surnommé "l'Ange de la Mort"

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Le géant pharmaceutique Pfizer a demandé une rançon à des gouvernements souverains en faisant des demandes bizarres pour obtenir des réserves bancaires, des bâtiments d’ambassades et des bases militaires comme garantie en échange des vaccins COVID-19. 

 

Au sommaire :

1- L'Iran met en garde l'AIEA

Le chef de l'Organisation de l'énergie atomique d’Iran (AEOI), Ali Akbar Salehi, a mis en garde le Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) d'éviter d'adopter, sous la pression et l'influence des États-Unis, une résolution contre l'Iran en raison de la suspension du Protocole additionnel [TNP]. Une telle action hostile amènera Téhéran à répondre, a-t-il averti.

Faisant référence à une récente déclaration conjointe entre l'AEOI et l'AIEA sur l'arrêt volontaire par l'Iran du Protocole additionnel au Traité de garanties, il a indiqué que l'annexe à cette déclaration était confidentielle.

Aucune condition particulière n’a été posée à cet égard, et selon les informations détaillées sur la liste des installations et des caméras de surveillance mentionnées dans cette annexe, ainsi que pour des raisons de sécurité et la nécessité de masquer l’emplacement des principales installations en Iran, cette annexe restera confidentielle, a noté Ali Akbar Salehi.

Selon le site web de l’organisme de surveillance nucléaire de l’ONU, la prochaine réunion ordinaire des gouverneurs de l’AIEA aura lieu, demain, mardi. Lui sera soumise une série de questions, y compris un rapport complet des activités de l’Iran.

Source : Fars News

 

2- La révolte anti système en Guadeloupe

La Martinique a connu le 27 février une importante manifestation contre le risque de prescription judiciaire dans l'affaire du chlordécone, un insecticide dangereux accusé d'avoir contaminé les sols de l'île et de la Guadeloupe.

Sous le mot d'ordre « Non à l'impunité », plusieurs milliers de personnes ont manifesté le 27 février en Martinique contre la menace de prescription dans le dossier du chlordécone, un insecticide accusé d'avoir empoisonné l'île et la Guadeloupe voisine où la mobilisation a démarré plus timidement.

« On n'avait jamais vu une manifestation aussi importante depuis 2009 », à l'occasion de la grève générale contre la vie chère, s'est réjoui Francis Carole, président du Parti pour la libération de la Martinique (Palima) et conseiller exécutif chargé des affaires sanitaires de la collectivité territoriale.

Entre 10 et 15 000 personnes selon les organisateurs, 5 000 selon la police, ont manifesté sur l'île.

« Les Martiniquais se sont mobilisés par milliers », a souligné ce dirigeant divers gauche, pour répondre « au crachat que nous a lancé l'Etat français, à savoir la menace de prescription » dans le dossier de cet insecticide qui a infiltré les sols de l'île pour des centaines d'années. Ils nous empoisonnent, ils nous tuent ont scandé les manifestants.

Source : RT 

 

3- Ce que Pfizer exige!

Le géant pharmaceutique Pfizer a demandé une rançon à des gouvernements souverains en faisant des demandes bizarres pour obtenir des réserves bancaires, des bâtiments d’ambassades et des bases militaires comme garanties en échange des vaccins COVID-19.

La société américaine Pfizer demande des rançons aux gouvernements, s’immisce dans leur législation et exige même des bases militaires comme garanties.

Pfizer a demandé au gouvernement argentin d’être indemnisé pour le coût de tout procès civil à venir, a rapporté WION.

Si quelqu’un intente un procès civil contre Pfizer en Argentine et obtient gain de cause, c’est le gouvernement argentin et non Pfizer qui paiera la compensation.

Ainsi, le Parlement argentin a adopté une nouvelle loi en octobre 2020, mais Pfizer n’était pas satisfaite de sa formulation.

La loi stipule que Pfizer doit au moins payer pour sa négligence, pour ses propres erreurs s’il lui arrive d’en commettre à l’avenir.

Pfizer a rejeté cette proposition, après quoi l’Argentine a proposé de modifier la loi pour définir plus clairement la négligence – pour n’inclure que la distribution et la livraison de vaccins dans le cadre de la négligence.

Pfizer n’était toujours pas satisfait et a demandé que la loi soit modifiée par un nouveau décret, ce que l’Argentine a refusé.

Pfizer a alors demandé à l’Argentine de souscrire une assurance internationale pour payer d’éventuelles futures poursuites contre Pfizer, ce que le pays a accepté.

Mais cela n’a pas suffi, en décembre 2020, Pfizer est revenu avec de nouvelles exigences.

Et cette fois-ci, Pfizer a exigé que les actifs souverains de l’Argentine servent de garantie.

Pfizer a exigé que l’Argentine mette en jeu ses réserves bancaires, ses bases militaires et les bâtiments de son ambassade. L’Argentine n’a pas accepté les demandes de Pfizer.

Un autre pays où Pfizer a fait des demandes aussi bizarres est le Brésil. Pfizer a demandé au gouvernement brésilien de créer un fonds de garantie et de déposer de l’argent sur un compte bancaire étranger.

Le 23 janvier 2021, le Ministère brésilien de la Santé a publié une déclaration citant des extraits des clauses précontractuelles de Pfizer.

Voici une liste des exigences de Pfizer :

Le Brésil renonce à la souveraineté de ses avoirs à l’étranger en faveur de Pfizer,

que les règles du pays – ne soient pas appliquées sur Pfizer,

que le Brésil prenne en considération un retard de livraison,

que Pfizer n’est pas pénalisé pour un retard de livraison, et

qu’en cas d’effets secondaires, Pfizer soit exonérée de toute responsabilité civile.

Le gouvernement du Brésil qualifie ces clauses d’abusives. L’accord Pfizer avec le Brésil a également échoué.

Pfizer voulait même que l’Inde commande ses vaccins COVID-19 sans aucun essai local.

Selon le co-fondateur de BioNTech, le Dr Ugur Sahin, le vaccin COVID-19 qu’il a conçu pour Pfizer a été conçu en quelques heures seulement en une seule journée, le 25 janvier 2020. Aucun autre vaccin dans l’histoire n’a été créé et fabriqué aussi rapidement. Auparavant, le vaccin le plus rapide jamais mis au point prenait plus de quatre ans. Selon Albert Bourla, tout comme la fête célèbre un « impossible devenu possible », le monde célèbre les scientifiques qui ont défié le possible en créant un vaccin aussi rapidement.

Comme rapporté précédemment par GreatGameIndia, Pfizer a versé 2,3 milliards de dollars dans le cadre du plus grand règlement de l’histoire en matière de fraude dans le domaine de la santé, afin de résoudre la question de la responsabilité pénale et civile découlant de la promotion illégale de certains produits pharmaceutiques.

Source : https://greatgameindia.com traduit par https://cv19.fr via https://cv19.fr/

 

4- Amériques: Pied de nez sanitaire à Pfizer

Le Fonds russe d’investissements directs (RFPI) a annoncé l’homologation de son vaccin anti-Covid Spoutnik V au Guatemala, portant ainsi à 37 le nombre de pays où le sérum russe est autorisé.

Le Guatemala a donné son feu vert pour l’utilisation du vaccin russe Spoutnik V.

« Le vaccin a été homologué dans le cadre de la procédure accélérée d'autorisation d'urgence », a fait savoir dans un communiqué le fonds russe RFPI, qui assure la promotion du vaccin sur la scène internationale.

« Le Guatemala est devenu le troisième pays d’Amérique centrale à enregistrer le vaccin », a détaillé le directeur du RFPI Kirill Dmitriev.

La veille, le Honduras et l’Égypte avaient annoncé à leur tour l’autorisation d’utilisation du vaccin russe.

Conçu par le centre de recherche Gamaleïa, le Spoutnik V a été enregistré en Russie en août dernier. Actuellement, le sérum est autorisé dans 37 pays, dont la Hongrie, l’Algérie, le Mexique et les Émirats arabes unis. Comme l’indique le RFPI, le Spoutnik V fait partie du trio des vaccins anti-Covid ayant reçu le plus d’approbations par les régulateurs étatiques.

Source : Sputnik

 

5- Et la France perdra aussi Rafale !!

« L’avion de combat du futur ne sera européen que si les Européens s’entendent sur un besoin opérationnel commun. Il faut tirer les leçons de quinze ans d’échec dans la défense européenne. Sans besoin stratégique commun, il ne peut y avoir de programme défini à Bruxelles. Inutile de répéter les erreurs du passé », a expliqué Éric Trappier, le Pdg de Dassault Aviation, alors qu’il était interrogé par le quotidien Les Échos.

Et justement, la définition de ces besoins stratégiques (et opérationnels) communs s’avère toujours compliquée à trouver. Alors qu’il lui était demandé si le Rafale était le « dernier projet franco-français », M. Trappier a répondu : « pas forcément ».

Et d’ajouter : « Arrêtons ce fantasme : Dassault et la France n’ont pas conçu le Rafale seuls contre tous les autres pays » car, « à la base, il y a de vraies différences de besoins opérationnels. » Et le fait est : il fallait à la France un avion capable de mener des missions nucléaires et d’être mis en œuvre depuis un porte-avions. Aussi, il sera compliqué de mettre tout le monde d’accord pour développer, au niveau européen, un nouvel appareil.

Au passage, M. Trappier a estimé que la « préférence européenne est un concept sans effet » car de nombreux pays européens « préfèrent acheter américain, quand bien même cela ne leur donne aucun accès aux codes sources. » Et de citer le cas des Pays-Bas : « Lors de l’appel d’offres lancé (…) dans les années 2000, nous aurions pu donner nos Rafale, cela n’aurait rien changé à la volonté du gouvernement hollandais de s’équiper de chasseurs américains, afin de se mettre à l’abri du parapluie américain, l’OTAN. »

Source : Opex.360

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SOURCE: FRENCH PRESS TV