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E-Press du 9 janvier 2021

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Benjamin Netanyahu et le prince héritier d'Arabie saoudite. ©Orient XXI

 

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Au sommaire :

1- Missiles iraniens : la méga carte...

Le CGRI dévoile une base de missiles souterraine stratégique sur les rives du golfe Persique

Le commandant en chef du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) d’Iran, le général de division Hossein Salami, a dévoilé l’une des villes de missiles souterraines stratégiques que le pays a construites le long de sa côte sud du golfe Persique.

« Notre logique est de défendre l’intégrité territoriale et l’indépendance du pays et les réalisations de la Révolution islamique », a déclaré le général Salami lors d’une cérémonie vendredi, avec le contre-amiral Alireza Tangsiri, commandant de la marine du CGRI, et un certain nombre de hauts gradés.

Le chef du CGRI a déclaré : « Nous croyons que nos ennemis n’acceptent pas le pouvoir de la logique, mais s’appuient sur la logique du pouvoir. Il ne nous reste donc plus d’autre choix que de renforcer notre dissuasion offensive et défensive face à leurs complots coloniaux ».

Salami a souligné que le CGRI a construit plusieurs installations de missiles navals stratégiques, où des colonnes exceptionnellement longues de projectiles ainsi que leur système de lancement sont stockés.

« Ces missiles ont une portée de plusieurs centaines de kilomètres, sont précis et ont une puissance destructrice très élevée et sont capables de pénétrer dans l’équipement de guerre électronique de l’ennemi », a-t-il dit.

Salami a poursuivi en disant que les forces du CGRI sont pleinement préparées pour toute opération immédiate, soulignant que les forces n’hésiteront pas à étouffer toute offre anti-Iran par des puissances arrogantes et des ennemis dans l’œuf.

Il a également salué les progrès technologiques de la marine du CGRI en termes de quantité et de qualité, déclarant que de nombreux progrès avaient été accomplis en ce qui concerne les systèmes de collecte d’informations, les systèmes de détection et d’interception, ainsi que les systèmes radars connexes. « Les missiles navals du CGRI sont parmi les plus avancés au monde en ce qui concerne les missions de combat côtier, sol-sol, air-mer, mer-air », a souligné le général Salami.

Début juillet de l’année dernière, le commandant de la marine du CGRI a déclaré que l’Iran avait établi des villes de missiles onshore et offshore le long des côtes du golfe Persique et de la mer d’Oman, ce qui serait un « cauchemar » pour l’ennemi.

Source : IRNA

2- Israël dans le chaos au Capitole ?

Réagissant à l’information selon laquelle l’ordinateur portable volé par des partisans de Trump lors de l’assaut du Capitole était celui de la présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, Nancy Pelosi, son assistant a souligné ce 8 janvier qu’il s’agissait d’un appareil utilisé seulement pour les présentations. Et pourtant des sources affirment le contraire : 

Des documents relatifs à des dossiers de lobbying ont disparu de certains bureaux du Capitole à la faveur des incidents d’hier. Parmi ces dossiers, une demande d’appui émanant d’Aramco, un projet de financement d’une station radio mobile (Support Naval) gérée par des exilés cubains et une offre immobilière à des taux très avantageux pour des membres du Congrès émanant d’une société basée en Israël… 

Après avoir appris que, lors de l’invasion du Capitole le 6 janvier, des appareils électroniques et des documents avaient été dérobés, le procureur fédéral par intérim de Washington, Michael Sherwin, a déclaré qu’il était préoccupé pour la sécurité nationale des États-Unis, d’après Reuters. Selon le responsable, cet incident pourrait « potentiellement compromettre la sécurité nationale ».

Les États-Unis se trouvent toujours sous le choc après la récente « prise » par des partisans du président sortant du Capitole, où siège le Congrès américain. Au moment de l’irruption des soutiens de Trump, les deux chambres procédaient à la certification de la victoire de Joe Biden.

Source : Strategika 51

3- Macron fait des largesses avec l’argent public ?

Alors qu’une multitude d’entreprises sont toujours à l’arrêt, ou presque, pour cause de Covid-19, le gouvernement les assure de sa détermination à les soutenir financièrement. Les aides d’urgence pleuvent depuis des mois. Mais qui paiera la facture ? Éléments de réponse avec l’économiste Guillaume Travers au micro de Sputnik.

« La situation sanitaire n’est pas revenue à la normale, elle est même devenue plus fragile au cours des dernières semaines. » Lors d’une conférence de presse donnée le 7 janvier, le Premier ministre Jean Castex a douché les espoirs des secteurs touchés par les restrictions sanitaires.

Musées, cinémas, théâtres, salles de sport (sauf pour les mineurs) sont fermés depuis le 30 octobre et « le resteront encore jusqu’à la fin de ce mois » au moins, a prévenu le locataire de Matignon. Concernant les remontées mécaniques dans les stations de ski, elles ne fonctionneront pas avant le début du mois de février… dans le meilleur des cas. Les bars et restaurants, qui espéraient rouvrir le 20 janvier, garderont leurs portes fermées a minima jusqu’à la mi-février.

Ces déclarations interviennent dans une France sous couvre-feu –à 18 ou 20 heures selon les départements. Alors que plane l’ombre d’un troisième confinement. Si Jean Castex s’est refusé à utiliser l’expression, le président du Conseil scientifique, Jean-François Delfraissy, a averti sur France 2 que, « au milieu de la semaine prochaine, ça sera le moment peut-être de discuter de mesures plus lourdes pour éviter une expansion de l’épidémie ». Le tout alors que le nouveau variant britannique du Covid-19, plus contagieux, essaime en Europe, poussant l’Angleterre et l’Écosse à se reconfiner pour plus d’un mois.

Avec : Sputnik

4- Pfizer, défiée par l’Iran

Alors que la campagne de vaccination mise en place par le gouvernement prend du retard et que plus d’un Français sur deux ne franchira pas le pas, 200 personnalités du monde de la culture ont lancé un appel pour « montrer l’exemple ». Pour l’éditorialiste Alexis Poulin, cette initiative démontre l’incapacité de l’exécutif à rassurer. 

Outre des cas d’inefficacité du vaccin qui a provoqué la maladie, il y a des cas de morts rapportés. Le 6 janvier, un médecin de Floride serait décédé des suites du vaccin COVID-19 de Pfizer. Le médecin, Gregory Michael, 56 ans, est décédé après avoir reçu le vaccin le 18 décembre, a déclaré sa femme, Heidi Neckelmann. Selon son épouse, il a demandé des soins d’urgence trois jours après l’injection parce qu’il avait des points sur la peau qui indiquaient une hémorragie interne. La maladie qui, selon elle, a conduit à son accident vasculaire cérébral, appelée thrombocytopénie, résulte d’un nombre de plaquettes inférieur à la normale, qui provoque une coagulation du sang.

Dans des cas extrêmement rares, le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole a été associé à une thrombocytopénie chez les jeunes enfants, selon une étude de 2003.   Et bien les Français n’ont-ils pas raison ?

Selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting réalisé les 22 et 23 décembre et publié le 3 janvier pour Franceinfo et Le Figaro, près de 6 Français sur 10 (58 %) ne veulent pas se faire vacciner contre le Covid-19. Et bien plus d’un Français serait enclin de voir là un nouveau coup atlantiste contre les alliés, après de multiples études et rapports publiés sur la nature du vecteur viral Covid-19 qui n’a été qu’une bio arme.

Peu de dirigeants du monde ont osé jusqu’ici remettre en cause le lobby pharmaceutique qui, à plus d’un égard, semble avoir été l’une des principales parties à tirer profit de la terrible pandémie Covid-19. Mais en Iran cela vient de se faire puisque l’Iran est un état souverain. Vendredi 8 janvier, l’Ayatollah Sayed Ali Khamenei a interdit au gouvernement d’importer des vaccins COVID-19 en provenance des États-Unis ou de la Grande-Bretagne : « L’importation de vaccins américains et britanniques est interdite. J’en ai informé les responsables et je le dis publiquement maintenant. Ils ne sont aucunement fiables. Il n’est pas improbable qu’ils veuillent contaminer les autres pays », a fait savoir le Guide suprême de la Révolution islamique, avant de souligner : « Si les Américains avaient réussi à produire un vaccin, ils n’auraient pas fait face à un tel désordre aujourd’hui dans leur propre pays. En un jour, quelque 4000 personnes sont mortes du COVID-19 aux États-Unis ».

Et le vaccin français ? « Je ne suis pas optimiste quant à la France en raison de leur histoire de sang contaminé », a-t-il ajouté en référence au scandale de l’affaire du sang contaminé des années 1980-90.

En attendant le vaccin iranien fabriqué en pleine sanction a passé avec succès la première phase de son injection sur hommes, les candidats n’ayant montré aucun symptôme. Pour ce vaccin on est néanmoins sûr qu’il n’y a aucune ingérence du lobby pharmaceutique américano-sioniste qui a fait de peuples entiers ses cobayes.

Source : Sputnik

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SOURCE: FRENCH PRESS TV