Au sommaire :
1. Traité d’Aix-la-Chapelle : une imposture ?
Le nouveau Traité d’Aix-la-Chapelle n’apporte rien de nouveau. C’est un nouvel instrument de vassalité vis-à-vis d’un empire qui ne veut en aucun cas des rêves de grandeur d’une France qu’on veut maintenir sous le joug de l’UE, de l’OTAN et de Washington en l’entravant au géant allemand. Ce dernier est déjà enchaîné et ne pose que peu de problèmes à l’Empire.
Mis à part l’allégeance à l’OTAN inscrite cette fois dans le texte, ce Traité n’apporte aucune nouveauté. Ce que l’on appelle le moteur franco-allemand (il n’y a que les Français qui en parlent ; aucun Allemand n’évoque une telle chimère…) d’une Europe unie reste sous la suzeraineté militaire et économique de l’Empire atlantiste.
Tout le reste n’est que du bla-bla destiné à remplir des rapports mensongers et à alimenter la propagande.
Ce qui risque de changer par contre est le risque de voir à l’avenir une jacquerie populaire en France de type « Gilets jaunes » réprimée par des forces allemandes sans état d’âme dans le cadre d’une fusion des moyens de répression. Après 1945, la France avait bien envoyé des soudards allemands, dont d’anciens SS, massacrer des civils dans ce qui était alors ses colonies…
2. La Suède ne sera pas membre de l’OTAN.
Le Premier ministre suédois a annoncé que son pays ne deviendrait pas membre de l’OTAN.
Le Premier ministre suédois, Stefan Löfven, a mis l’accent sur les coopérations de la Suède avec ses partenaires en promettant que l’approche défensive de son pays resterait indépendante tout en continuant à renforcer ses coopérations avec les organisations et les États en matière de défense.
Löfven, chef du parti social-démocrate, a été réélu Premier ministre par le nouveau Parlement formé il y a 4 mois. Pour le moment aucun parti n’a réussi à obtenir la majorité nécessaire à la formation d’un nouveau gouvernement. L’élection de Löfven a eu lieu après une impasse au sein du Parlement et à la suite de la coalition de plusieurs partis face au parti d’extrême droite.
3. France des Gilets jaunes : un policier dévoile la méthode de répression macédonienne !
Diviser le peuple pour mieux régner : la Macronie semble ne connaître aucune limite d’âge dans la mise en pratique de cette méthode.
Se sentant menacé par sa hiérarchie pour « déloyauté », le policier Alexandre Langlois dénonce dans cette vidéo la gestion du maintien de l’ordre par le gouvernement dans le cadre du mouvement des Gilets jaunes, l’instrumentalisation des forces de l’ordre par le pouvoir, et les conditions de travail difficiles dans un contexte de hausse des cas de suicides chez les policiers.
L’expérience de Stanford sur les effets de la détention carcérale, menée en 1971, a démontré que dans la majorité des cas, la violence n’est pas dans la nature des policiers et qu’ils n’aimeraient pas contre tout l’or du monde lever la main sur leurs compatriotes, dont la plupart pourraient être leurs parents ou grands-parents. Les policiers, après avoir frappé les manifestants, se sentent donc déshumanisés, démunis, humiliés, dépossédés d’eux-mêmes.
Et dans la foulée, on apprend hier par BFM TV qu’a la récréation, les enfants d’une école primaire du 8e arrondissement de Paris ont joué aux Gilets jaunes.
Voilà en quoi consiste le jeu : les enfants sont d’abord divisés en deux groupes, ceux qui incarnent les Gilets jaunes bien évidemment « les méchants qui cassent les vitrines, et les policiers qui doivent attraper les casseurs et les mettre en prison. Alors la bagarre commence ».
La révolte-anti système en France est, aux yeux du régime Macron, un « mal » qu’il faut soigner dès l’enfance.
Mais le problème est que l’on apprend aux petits Français à se haïr les uns les autres ; la politique d’atomisation de la société française mise au point sous Macron vise à récolter, à plus ou moins brève échéance, les fruits de ces efforts.
Regardez cette vidéo sur YouTube !