Au sujet du projet d’attentat visant le congrès de la milice terroriste des Moujaheddines du peuple, le porte-parole de la diplomate iranienne a dénoncé « les agissements d’un pays tiers » dans ce dossier, un pays qui en veut aux liens Paris-Téhéran.
Signe que Téhéran y voit bien clair, Bahram Qasemi a même appelé la France à s’asseoir autour d’une table et à confronter les informations des uns et des autres, mais la France s’abstient. Pourquoi donc ?
Pierre Dortiguier, expert des questions politiques, nous l’explique.
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