Certains médias évoquent le train de réformes économiques qui aurait poussé Riyad à expulser les clandestins algériens.
Pourtant de nombreux analystes avancent une autre explication: aussi bien au Yémen, qu'en Syrie ou encore en Irak, l'Algérie s'est bien refusée à se prêter au jeu dangereux des Saoudiens.
Alger ne voit pas non plus pourquoi il faudrait honnir l'Iran, quand le monde musulman est sur le point d'être dépossédé de ses symboles les plus sacrés par l'axe américano-saoudien. L'Algérie s'éloigne de plus en plus de Riyad et en paie le prix.