Le représentant permanent adjoint de l’Iran aux Nations unies a tenu à faire allusion aux actes violents du régime israélien à l’encontre du peuple palestinien. Il n'a pas omis de dire que ce genre d’actes d’occupation constituait la plus grande menace contre la paix et la sécurité mondiales et a réclamé des réactions internationales.
Gholam-Hossein Dehqani, qui s’exprimait lors de la réunion annuelle de la quatrième commission de l’Assemblée générale de l’ONU, a évoqué les violences exercées par Israël envers le peuple opprimé palestinien ainsi que la situation déplorable des droits de l’homme dans les territoires palestiniens, réclamant l’intensification des pressions de la communauté internationale sur le régime de Tel-Aviv.
Il a déclaré que la situation humanitaire critique dans la bande de Gaza, due à la poursuite du blocus économique ainsi qu'aux attaques sans relâche des militaires israéliens contre les Palestiniens, était une source de profonde inquiétude.
Rappelant que l’abjecte occupation du régime israélien était le principal facteur de menace contre la paix et la sécurité internationales, il a dit que les crimes commis par Tel-Aviv dans les territoires palestiniens, par exemple dans la ville occupée de Qods et au Golan occupé, étaient en violation flagrante de la 4e Convention de Genève et des résolutions de l’ONU.
« La colonisation, l’exploitation illégale des ressources naturelles, la destruction des maisons, le déplacement forcé des civils et l’arrestation des Palestiniens doivent être suspendus immédiatement », a-t-il ajouté.
Le représentant permanent adjoint de l’Iran aux Nations unies a dit que le Golan occupé faisait partie intégrante de la République arabe syrienne et que toutes les mesures illégales du régime occupant – dont ses politiques discriminatoires et illégales envers le peuple syrien, la présence de ses bases militaires dans les zones résidentielles et civiles de la Syrie, le développement des colonies et l’imposition d’un nouveau système d’éducation aux habitants des régions occupées en Syrie – contredisaient gravement le droit international, la charte de l’ONU, les résolutions onusiennes et la 4e Convention de Genève.