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Maroc: 12 ministres destitués

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Cette image, publiée le 14 octobre 2016, montre le roi du Maroc Mohammed VI donnant un discours lors de l'ouverture du nouveau parlement à Rabat. ©AFP

Le roi du Maroc, Mohammed VI, a démis de leurs fonctions 12 ministres-députés conformément à la Constitution et sur demande du chef du gouvernement.

Tous les ministres destitués avaient été élus, il y a deux semaines, comme députés du Parlement et la Constitution interdit aux ministres d’occuper, en même temps, le poste du député du Parlement.

Les ministres concernés sont Lahcen Daoudi, ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de la Formation des cadres, Aziz Rabbah, ministre de l'Equipement, du Transport et de la Logistique, Mustapha Khalfi, ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Abdelkader Aâmara, ministre de l'Energie, des Mines, de l'Eau et de l'Environnement, Lahcen Haddad, ministre du Tourisme, Abdelaziz El Omari, ministre chargé des Relations avec le Parlement et la société civile, Lahcen Sekkouri, ministre de la Jeunesse et des Sports, Mme Mbarka Bouaida, ministre déléguée auprès du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Mohamed Abbou, ministre délégué auprès du ministre de l'Industrie, du Commerce, de l'Investissement et de l'Economie numérique, chargé du Commerce extérieur, Mohamed Najib Boulif, ministre délégué auprès du ministre de l'Equipement, du Transport et de la Logistique, chargé du Transport, Idriss Azami Al Idrissi, ministre délégué auprès du ministre de l'Economie et des Finances chargé du Budget et Mohamed Moubdii, ministre délégué auprès du chef du gouvernement, chargé de la Fonction publique et de la Modernisation de l'administration.

Les fonctionnaires de la Commission électorale du Maroc vident une urne lors des élections législatives à Rabat, le 7 octobre 2016.©AFP

Le mandat légal de l’actuel gouvernement marocain a touché à sa fin et le cabinet dirige les affaires du pays, en tant que gouvernement intérimaire.

Les Législatives marocaines ont eu lieu il y a deux semaines et le Parti "Justice et Développement" a occupé la majorité des sièges du Parlement.

   

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SOURCE: FRENCH PRESS TV