Saad Hariri, le président du Courant du futur, a donné son feu vert à la candidature de l’ex-général Michel Aoun, le chef du Courant patriotique libre, à la présidence du Liban.
Lors de son discours au siège de son parti, Hariri a déclaré qu’il cherchait une solution politique au vrai sens du mot mais que certains étaient cependant mécontents de sa décision.
Il a estimé que son soutien à Aoun constituait un grand risque politique mais a affirmé être prêt à y faire face pour soutenir le peuple.