Au cours d'une audience accordée aux poètes et aux artistes au 14ème jour du mois béni de Ramadan, le Guide Suprême de la Révolution islamique a évoqué " la guerre douce" des grandes puissances contre les Etats indépendants, une guerre qui demande des moyens appropriés pour être contrée.
" La poésie fait partie de ces moyens qui sont à mêmes de neutraliser la vaste guerre médiatique et culturelle que les ennemis ont déclenché contre l'Iran, a fait noter le Guide Suprême qui voit à travers la communauté des poètes et de littérateurs, l'une des richesses culturelles du pays.
" La poésie se doit d'être vivante, elle doit être dynamique et évolutive. Elle devra être engagée et aborder le politique, le culturel, et renforcer les liens sociaux... La poésie contemporaine iranienne est empreinte de cet engagement et on voit de belles oeuvres en faveur de la Palestine, de Bahrein, du Yémen, des leaders chiites persécutés comme Cheikh Zakzaki, des victimes de la guerre en Syrie... Ce qui manque c'est une meilleure vulgarisation de ces poèmes, a-t-il ajouté.
Le Leader de la révolution islamique a évoqué plus loin "toutes les trahisons amériacines qui ont paralysé la mise en oeuvre de l'accord nucléaire : " Outre les politiciens, il appartient aussi aux artistes d'éclairicir l'opinion publique sur ce dossier".