Dimitri Peskov, le porte-parole du Kremlin, dit que son pays reste campé sur sa position envers les hauteurs occupés du Golan. Il s'agit d'un dossier "qu'il faudrait traiter suivant les lois internationales".
Interrogé par les journalistes, Peskov a affirmé que la position de Moscou vis-à-vis du Golan n'a guère changé et que son pays demande à ce que le droit et les lois internationales soient prises en compte dans ce dossier.
A en croire les médias israéliens, Poutine aurait changé de cap au Golan ayant décidé de s'aligner sur la politique de Tel Aviv. Fin mars, le premier ministre israélien a réuni son cabinet dans une localité du Golan occupé en annonçant qu'Israël ne quitterait plus cette région ni ne changerait la démarcation de ses frontières.
Le Conseil de sécurité de l'ONU continue à qualifier le Golan de "territoire occupé" qu'il faudrait rétrocéder à la Syrie.