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La Palestine se prépare à rejoindre Interpol avant la fin de l'année 2016.

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Interpol. (Photo d'archives)

L’Autorité autonome coachée par un ex-inspecteur d'Interpol pourrait bien rejoindre cette organisation internationale de police criminelle d'ici la fin de l'année. 

Les responsables palestiniens sont aidés dans ce projet par Joeri Van Nuffel qui travaille à la mission européenne de soutien à la police palestinienne (EUPOL COPPS) à Ramallah et qui est un ancien officier d’Interpol.

Van Nuffel mène alors à Ramallah, auprès de ses collègues palestiniens, ce qu’on peut appeler une véritable aide législative. La mission n’étant pas des plus aisées, il faudrait d’abord que la Palestine soit dotée d’un système en lequel les États membres d’Interpol puissent avoir confiance; ce qui implique de créer un cadre légal permettant un échange d’information sécurisé et en conformité avec le droit international.

En effet, le but serait de créer une base pour les échanges d'informations entre la Palestine et Interpol qui serait conforme aux standards du droit international sans oublier une aide pour rendre les services de police palestiniens plus techniques.

L’Autorité autonome avait déposé une demande d'adhésion à Interpol en août 2015 ; cette initiative ayant été expliquée par la nécessité d'organiser des enquêtes contre des citoyens palestiniens ayant fui à l'étranger.

L'Autorité autonome a été jusqu’à ce jour reconnue par 137 pays membres des Nations unies.

La Palestine est membre de l’organisation de coopération islamique depuis 69, de la Ligue arabe depuis 1976 et de l’Unesco, depuis 2011.  En 2012, elle a même acquis le statut d’observateur à l’ONU.

Avec Bruxelles 2

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SOURCE: FRENCH PRESS TV