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De l'aide humanitaire dans un entrepôt du quartier de la Ghouta, en banlieue de Damas.

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Des millions de Syriens ont besoin d'aides humanitaires. (Photo d'archives)

C’est la première fois que l’ONU a recours à cette méthode au lieu d’acheminer des convois humanitaires par la route. La Russie avait annoncé en janvier avoir réalisé des largages aériens humanitaires dans cette même région.

« 21 tonnes de provisions » ont été ainsi livrées, a-t-il indiqué devant le Conseil de sécurité, qui tenait des consultations sur la situation humanitaire en Syrie. Les palettes larguées « ont atterri dans la zone cible comme prévu », a annoncé le patron des opérations humanitaires de l’ONU, Stephen O’Brien.

Il a souligné que de tels largages, imprécis et difficiles en raison de l’insécurité, « présentent des risques opérationnels » et ne sont envisageables qu’en « dernier recours ». Mais ils « ont des avantages dans certaines régions de Syrie », a-t-il ajouté.

Les quelque 200 000 habitants restants à Deir ez-Zor, une ville située à 450 km au nord-est de Damas, sont soumis à un siège par les terroristes de Daech, qui contrôlent une partie de la ville.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV