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La reprise d’un projet gazier après la levée des sanctions

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Gazoduc Iran-Pakistan (AFP)

Le Pakistan, qui n’a pas encore rempli sa part du contrat de la construction du gazoduc Iran-Pakistan, sous prétexte des sanctions, vient d’annoncer qu’une tierce partie ne pourrait plus faire pression sur Islamabad après la levée des sanctions.

A l’issue de sa rencontre avec le nouvel ambassadeur d’Iran au Pakistan, Mahdi Honardoust, le ministre pakistanais du Pétrole et des Ressources naturelles, Shahid Khagan Abbasi, a déclaré :

« Le nouvel ambassadeur d’Iran à Islamabad m’a dit que les sanctions seraient bientôt levées. Il ne sera donc aucun problème de la part d’une partie quelconque et personne ne pourra plus nous mettre sous pression afin de nous empêcher de remplir notre part de contrat. Les banques et les compagnies étrangères s’inquiètent du caractère réversible des sanctions car nous ne savons pas encore de quelle manière les sanctions seront annulées et nous ne savons pas si les sanctions seront annulées d’un seul coup ou d’une manière graduelle. J’ai mis au courant l’ambassadeur iranien des détails du plan du gazoduc irano-pakistanais. Islamabad travaille là-dessus. Les plans ont été déjà élaborés et nous nous entretenons avec les entrepreneurs étrangers pour pouvoir mettre ce plan en application. On espère pouvoir l’accomplir d’ici la fin de 2017 ».

Selon le ministre pakistanais du Pétrole et des Ressources naturelles, l’Iran et le Pakistan sont capables d’élargir leurs relations et les raffineries pakistanaises, dirigées par le secteur privé, pourront acheter à l’Iran le brut dont elles en ont besoin.

 

     

 

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV