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"Netanyahu sera responsable de la guerre civile en Israël", écrit un écrivain juif-américain

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Une manifestation à Tel-Aviv. ©Reuters

Aujourd'hui, Israël est une chaudière avec beaucoup, beaucoup trop de vapeur qui s'accumule de l'intérieur, et les boulons sont sur le point de s'envoler dans toutes les directions, a écrit Thomas L. Friedman, un écrivain juif-américain dans un article de 28 février qui s’est penché sur les divergences croissantes et leurs conséquences au sein du cabinet israélien.

Il a directement pointé du doigt Netanyahu, l'accusant de désirer plonger Israël dans une guerre civile pour son profit personnel avant de dire que les conflits qui se déroulent actuellement au sien de la société israélienne ne plaisent pas au lobby juif à Washington et aux principaux partisans de ce régime.

Friedman croit que le chaos actuel dans la société israélienne est enraciné dans la stupidité des autorités israéliennes qui se font des illusions sur le fait qu'elles peuvent maintenir l'existence du régime sioniste avec leur arrogance et leurs mesures violentes.

Il estime que les seules personnes capables de protéger le régime sioniste sont celles qui ont des visages modérés et sans prendre de mesures extrêmes sont capables de réaliser les mêmes souhaits des extrémistes.

Du point de vue de Friedman, les chaos récents au sein de la société israélienne sont le résultat des actions d'extrémistes soutenant Netanyahu qui fait tout pour maintenir son poste de Premier ministre afin d'être à l'abri de poursuites judiciaires pour corruption.

Selon Friedman, l'Amérique a honte du comportement et des mesures du ministre israélien Itamar Ben Gvir, Smutrich et Netanyahu, et a besoin de personnalités modérées qui peuvent la défendre devant les opinions publiques, non pas d'extrémistes qui cherchent à effacer une ville palestinienne de la carte du monde.

La désapprobation des personnalités susmentionnées ou leur destitution par l'Amérique n'ont rien à voir avec leur comportement raciste et leurs crimes contre les Palestiniens, mais consistent plutôt à leur soutien aux actes provocateurs du régime sioniste dans les médias. 

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV