Mariam Saleh
Press TV, Beyrouth
Les journalistes, les personnalités des médias, les politiciens et les représentants du front de résistance ont noté que la Syrie était aux côtés des groupes de résistance alors que le monde avait abandonné la Palestine et le Liban et que le moment était venu de se tenir aux côtés de la Syrie.
Le département d'État américain a affirmé que les sanctions ne visaient pas l'aide humanitaire, mais le tremblement de terre de lundi a prouvé le contraire.
Plus de 3 000 personnes sont mortes à ce jour à la suite du tremblement de terre catastrophique en Syrie alors que les équipes de secours continuent de rechercher des survivants sous les décombres des bâtiments qui ont été complètement rasés.
En plus des efforts de sauvetage, le peuple syrien a un besoin urgent de produits de première nécessité comme des médicaments et du carburant qui n'ont pas été autorisés à entrer en Syrie en raison des sanctions occidentales.
Le 6 février, un tremblement de terre de magnitude 7,8 a frappé la Turquie et la Syrie, tuant des milliers de personnes dans les deux pays.
Alors que des pays comme l'Iran et la Russie ont envoyé de l'aide à la Syrie, le montant de l'aide humanitaire qui a atteint le pays arabe est encore très faible par rapport à l'aide internationale envoyée à la Turquie.
Au moins cinq équipes de secours du Liban se sont dirigées directement vers la Syrie pour aider le pays dans ses efforts de sauvetage. Pourtant, l'aide humanitaire qui a atteint la Syrie jusqu'à présent n'est pas suffisante, et comme le disent les participants à la réunion d'aujourd'hui, les États-Unis et l'Occident doivent lever les sanctions injustes imposées à la nation syrienne.
