Au sommaire :
1. USA : la tête de deux Iraniens mis à prix !
Le département d'État a fixé une récompense de 10 millions de dollars pour les informations menant à la capture de deux "hackers iraniens" qui, selon Washington, cherchaient à s'immiscer dans les élections américaines de 2020.
Les États-Unis ont déclaré mardi qu'ils recherchaient des informations sur "l'ingérence signalée" de l'Iran dans l'élection présidentielle américaine de 2020, à la suite d'allégations faites en novembre contre deux pirates informatiques iraniens présumés, a rapporté l'agence de presse Fars.
Le département d'État a déclaré dans un communiqué que le département d'État cherchait des informations sur les cyberacteurs iraniens "Seyed Mohammad Hossein Musa Kazemi" et "Sajjad Kashian" - des sous-traitants travaillant pour la cyberentreprise iranienne Emennet Pasargad - dans le cadre d'une opération soutenue par le gouvernement iranien qui a tenté de s'ingérer dans l'élection présidentielle américaine de 2020.
Les deux pirates informatiques présumés ont été accusés en novembre 2021 d'avoir participé à une campagne électorale qui a encouragé les gens à réélire l'ancien président américain Donald Trump, et à faire face à des sanctions et à des accusations fédérales. Selon le rapport, les États-Unis recherchent plus d'informations sur le plan qu'ils organisaient et ont offert jusqu'à 10 millions de dollars de récompenses pour ces informations.
Dans une déclaration publiée en novembre, le secrétaire d'État Anthony Blinken a affirmé que des acteurs parrainés par le gouvernement, y compris des groupes iraniens, diffusaient de fausses informations sur des sites Web et des médias sociaux destinés à saper la confiance des Américains dans les élections américaines. Activités.
Les allégations sont survenues alors que les agences fédérales américaines se préparaient à une éventuelle intervention étrangère d'acteurs gouvernementaux influencés par la Russie, l'Iran ou la Chine, selon National News, mais le bureau du directeur du renseignement national a déclaré que les pirates étrangers n'avaient pas eu d'influence majeure sur les élections. Le rapport du printemps 2021 déclare : "Nous n'avons aucune indication que l'un des acteurs étrangers ait tenté de modifier les aspects techniques du processus de vote, y compris l'inscription des électeurs, la participation électorale, la tabulation ou la communication des résultats aux élections nationales de 2020".
Source : Fars news
2. USA : Qatar, l'allié majeur non-membre de OTAN!
Et les relations entre Doha et Washington sont tellement au beau fixe que le Qatar devrait obtenir le statut d’allié majeur hors OTAN des États-Unis. Du moins est-ce la promesse faite par Joe Biden.
À ce jour, 18 pays bénéficient de ce statut, qui facilite l’achat d’équipements militaires américains tout en augmentant le niveau de coopération en matière de défense avec les États-Unis. Le Brésil est le dernier a l’avoir obtenu.
Il y a encore un an, et en raison notamment de ses liens avec les Frères musulmans et de ses relations avec l’Iran, le Qatar faisait encore l’objet d’un « blocus » imposé par les autres monarchies sunnites du golfe Persique, emmenées par l’Arabie Saoudite. Cela étant, et alors que Joe Biden prenait ses marques à la Maison Blanche, Doha et Riyad ont finalement normalisé leurs relations.
Par ailleurs, le Qatar a joué un rôle déterminant aux yeux de Washington dans l’affaire afghane. D’abord en accueillant les pourparlers entre les taliban et les diplomates américains, lesquels aboutirent à un accord que les premiers ne sont pas empressés de respecter… Puis quand il fallut évacuer de Kaboul des dizaines de milliers de personnes fuyant le régime taleb.
Aussi, l’émir du Qatar a-t-il a été le premier dirigeant du Golfe persique à avoir été invité à Washington par M. Biden. Et il n’a visiblement pas fait le voyage pour rien.
« Je crois que nous avons montré à quel point nous pouvons travailler ensemble et coopérer sur ce que nous avons fait pour l’Afghanistan. Nous sommes très fiers d’avoir pu évacuer des dizaines de milliers de personnes d’Afghanistan », n’a pas manqué de rappeler le Cheikh Tamim ben Hamad Al Thani.
Ce statut d’allié « privilégié » est le « puissant symbole de la relation étroite que les États-Unis entretiennent avec les pays qui l’ont obtenu », résume la diplomatie américaine.
Source : Sputnik
3. De la démocratie canadienne!
La découverte de tombes anonymes d'enfants autochtones sur les terrains des pensionnats est devenue l'une des plus grandes hontes du Canada.
Une équipe d'explorateurs de la province canadienne de la Saskatchewan a récemment commencé à rechercher des tombes anonymes autour de l'ancien pensionnat de Qu'Appelle.
Selon CTV News, la recherche intervient des mois après que le Canada a été touché par les nouvelles de la Colombie-Britannique au printemps, lorsqu'un groupe autochtone a annoncé que 215 tombes anonymes se trouvaient dans l'ancien pensionnat. Bien que ce chiffre ait ensuite été révisé à 200, des centaines d'autres sépultures anonymes ont été identifiées à travers le Canada dans les mois qui ont suivi.
Il existe également des dizaines de recherches supplémentaires pour trouver les tombes anonymes des indigènes prévues ou en cours.
Plus de 150 000 enfants autochtones au Canada ont été séparés de force de leur famille, principalement de la fin des années 1800 à 1996, et forcés de fréquenter des internats.
La décision du gouvernement canadien visait à remplacer les langues et les cultures autochtones par des croyances anglaises et chrétiennes.
La Commission de vérité et réconciliation du Canada, qui a publié son rapport final sur le système des pensionnats en 2015, affirme qu'au moins un élève sur 50 est décédé ; 4 100 personnes ont officiellement perdu la vie dans ce type d'école ; Bien que ce nombre soit considéré comme beaucoup plus élevé.
À ce jour, plus de 1 800 tombes non identifiées ou présumées non marquées ont été identifiées sur le site d'anciens pensionnats autochtones.
Voici quelques endroits où des recherches antérieures de tombes anonymes ont été menées, dont la plupart ont conduit à des découvertes :
Sacré-Cœur (Nord-Ouest du Canada)
Il y a maintenant un mémorial pour identifier environ 300 personnes, dont 161 enfants autochtones, près de l'ancienne école Holy Heart dans le village de Fort Providence, dans le nord-ouest du Canada.
Williams Lake (Colombie-Britannique)
Après une récente étude géologique, les Autochtones de Williams Lake disent avoir découvert 93 sépultures possibles sur le site d'un ancien pensionnat.
Le pensionnat St.Joseph près de Williams Lake en Colombie-Britannique a fonctionné entre 1886 et 1981.
Cranbrook (Colombie-Britannique)
En juin, l'équipe d'exploration a publié une déclaration indiquant que les restes de 182 enfants avaient été découverts dans des tombes anonymes près de l'ancien pensionnat St. Eugene en Colombie-Britannique.
Camelops (Colombie-Britannique)
En mai 2021, un groupe autochtone a annoncé que 215 tombes anonymes, changées plus tard en 200, avaient été découvertes dans l'ancien pensionnat autochtone de Kamloops.
Île Cooper (Colombie-Britannique)
Un communiqué publié par Joan Brown, chef de la tribu Panelcutt, a confirmé que plus de 160 tombes "sans papiers" avaient été découvertes sur l'île en juillet.
Saint-Joseph (Alberta)
À ce jour, 34 enfants ont été retrouvés enterrés près de l'ancienne école industrielle Danbo, dans le sud de Calgary, et des dizaines d'autres sont toujours portés disparus.
Battleford (Saskatchewan)
L'école Battlefield en Saskatchewan a été le premier pensionnat industriel du Canada.
À l'été 1974, les étudiants en archéologie et le personnel de l'Université de la Saskatchewan ont fouillé 72 tombes à l'école.
Mariwal (Saskatchewan)
En juin, un groupe autochtone de la Saskatchewan a déclaré avoir trouvé environ 751 tombes anonymes sur le site d'un ancien pensionnat de Mariwol, la plus grande tombe anonyme jamais découverte dans un ancien pensionnat.
Brandon (Manitoba)
Des enquêtes menées par un groupe autochtone du Manitoba ont identifié 104 tombes possibles dans trois cimetières liés à l'ancien pensionnat de Brandon.
Source : Taux
4. L’Ukraine a une nouvelle source de livraisons de gaz
Après la Slovaquie, la Hongrie est devenue la deuxième source garantie de livraisons de gaz à l’Ukraine, laquelle avait en 2021 importé plus de 2,6 milliards de mètres cubes de combustible bleu depuis des pays de l’Union européenne.
Un mois avant la fin de l’hiver, l’Ukraine a commencé à importer du gaz naturel de la Hongrie voisine, a annoncé le PDG du groupe gérant les réseaux ukrainiens de transport de gaz, Sergueï Makogone.
Comme expliqué sur sa page Facebook, la Hongrie devient ainsi sa deuxième source garantie de livraisons de gaz, même en l’absence de transit du combustible bleu en provenance de Russie. Auparavant, Kiev avait conclu une entente similaire avec la Slovaquie.
Via le territoire hongrois, l’Ukraine sera d’ailleurs en mesure de recevoir du gaz naturel liquéfié (GNL) d’un terminal d’importation situé en Croatie, poursuit M.Makogone.
Selon lui, en 2021, son pays a importé plus de 2,6 milliards de mètres cubes de gaz depuis l’Union européenne.
Transit du gaz russe
Depuis 2015, Kiev n’achète plus de gaz naturel directement à la Russie, mais aux pays européens qui reçoivent du gaz russe via le gazoduc passant à travers le territoire ukrainien. De facto, le combustible est prélevé sans avoir franchi la frontière ukrainienne, mais légalement, il est considéré comme importé de l’UE.
En vertu du contrat signé fin 2019 entre Gazprom et l’ukrainien Naftogaz, la partie russe garantit le transit de 40 milliards de mètres cubes de gaz via le territoire ukrainien par an. Or, toujours d’après Sergueï Makogone, au début de 2022, ces livraisons ont diminué de près de moitié.
Dans le contexte de la dégradation des rapports entre Moscou et Kiev qui a débuté en 2014, la Russie a procédé à la mise en place du gazoduc Nord Stream 2 censé acheminer son gaz en Europe en contournant l’Ukraine. Or, bien que le gazoduc soit prêt à l’exploitation depuis fin 2021, il attend toujours le feu vert du régulateur allemand, alors que Berlin menace d’imposer des sanctions à son encontre en cas d’agression militaire de l’Ukraine par le Kremlin.
Source : Sputnik
5. La Russie peut frapper la France
Le Centre d'études stratégiques et internationales a illustré les capacités des armes russes en Crimée.
Selon le Centre d'études stratégiques et internationales, les tentatives de l'OTAN de renforcer sa présence près des frontières russes et d'exercer une pression militaire sur la Russie ne conduiront pas aux résultats escomptés et pourraient conduire à la défaite de l'OTAN. De telles conclusions ont été tirées par des spécialistes du Centre d'études stratégiques et internationales (CSIS), notant que les armes situées en Crimée suffiront à vaincre avec succès les forces européennes de l'OTAN jusqu'en Espagne.
Comme il ressort des données du Centre analytique, le fait que les principales forces de l'OTAN soient concentrées en Europe centrale ne signifie en aucun cas que la Russie ne pourra rien faire. Selon ces sources, les capacités des missiles de croisière russes Caliber seront suffisantes pour infliger une frappe précise et puissante sur n'importe quelle cible en Europe, et ce jusqu'aux frontières occidentales de l'Allemagne (avec la portée annoncée des missiles jusqu' à 20 000 kilomètres).
Les capacités des bombardiers tactiques russes à longue portée Tu-22M3 sont encore plus grandes - même en tenant compte du fait que ces derniers utiliseront leurs armes depuis l'espace aérien au-dessus de la Crimée,
Tous les pays européens jusqu'au centre de la France seront donc des cibles faciles pour la Russie Néanmoins, comme il ressort des documents publiés, la Russie dispose également d'armes non létales capables de supprimer complètement les forces de l'OTAN sans tirer un coup de feu - ce sont des armes de guerre électronique à longue portée systèmes "Mourmansk-BN" : leurs capacités destructrices seront plus que suffisantes pour couvrir le territoire russe jusqu'au cœur de l'Espagne, sans parler du fait que la majorité des bases aériennes militaires américains au Moyen-Orient sont attaquées depuis le Mourmansk-BN complexe.
L'Occident se rend compte qu'il n'a aucune chance réelle de s'opposer ouvertement à la Russie, et donc, après une tentative de bluff ratée, l'OTAN a décidé de concentrer ses forces en dehors de l'Ukraine, où cette dernière pourrait être relativement plus sûre que sur le territoire ukrainien lui-même. L'OTAN devrait donc se contenter de continuer à exercer son influence sur l'Allemagne pour torpiller le Nord Stream 2, mais là encore ce levier de pression exercé par les sionistes qui ont entre les mains le Trésor américain a une force limitée.
Source : Avia.pro
