La Résistance palestinienne a fortement endommagé les infrastructures à Ashkelon.
Une partie des infrastructures d’Ashkelon a été touchée par des missiles tirés depuis la bande de Gaza, a révélé la chaîne de télévision israélienne KAN, presque deux mois et demi après la fin de la guerre.
Sans préciser le type des infrastructures touchées, la chaîne de télévision israélienne a souligné que l’explosion causée par ce tir de missiles avait provoqué de l’essoufflement et des démangeaisons à la gorge et aux yeux.
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Dans la foulée, le site d’information Paltimeps s’est référé à une source hébreu pour rapporter que Tel-Aviv venait de reconnaître que l’un des missiles tirés par la Résistance avait touché un réservoir de carburant à Ashkelon.
Par ailleurs, le porte-parole du Jihad islamique en Palestine a déclaré, lundi 26 juillet, que les groupes de Résistance palestiniens feraient de leur mieux pour mettre fin au blocus de la bande de Gaza.
Tarek Salmi a souligné que les attaques menées par le régime israélien constituaient une tentative destinée à redorer le blason de l’armée israélienne après l’échec cuisant qu’elle a subi pendant la guerre de Gaza.
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« Le régime sioniste tente de nous imposer une nouvelle équation mais il ne réussira jamais car la Résistance palestinienne suit de près tous les crimes qu’il commet. »
Tarek Salmi a souligné que « c’est la Résistance palestinienne qui a imposé au régime sioniste une nouvelle équation après la bataille de l’Épée de Qods et c’est elle qui a le dernier mot ».
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Dimanche 25 juillet, les responsables palestiniens ont annoncé que le régime israélien avait empêché les camions chargés de carburant d’entrer à Gaza via le poste-frontière Karam Abou Salem. À noter que ce camion transportait du carburant pour la seule centrale d’électricité de la bande de Gaza. Tel-Aviv n’a fourni aucune explication à ce propos.
Le mois dernier, le régime israélien a permis la livraison du carburant à Gaza après un gel de 49 jours.
L’Organisation des Nations unies multiplie ses efforts pour convaincre Israël d’alléger le blocus sur Gaza afin que les bâtiments endommagés ou totalement détruits par la guerre soient reconstruits.
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De son côté, Israël cherche à conditionner l’allègement du blocus à un échange de prisonniers, condition rejetée par la Résistance palestinienne qui souligne que les prisonniers israéliens ne seront libérés qu’en échange des prisonniers palestiniens.
