90 jours après l’état d’alerte de l’armée israélienne à la frontière libanaise et le lancement des pourparlers sur la démarcation des frontières, l’armée du régime sioniste s’inquiète toujours des mesures de représailles et de vengeance du Hezbollah.
Selon le site Web israélien Walla, le début des pourparlers entre le Liban et le régime sioniste sur la démarcation des frontières maritimes sous l’auspice des États-Unis n’a pas pu convaincre les commandants de l’armée israélienne que le Hezbollah avait changé son approche pour venger la mort de l’un de ses combattants en Syrie.
Selon ce rapport, les commandants militaires sionistes ont menacé que « toute attaque contre les militaires israéliens aura un coût élevé et des conséquences douloureuses pour le Hezbollah ».
Walla a rapporté que le Hezbollah était en train de trouver la cible israélienne à proximité des frontières communes.
À ce propos, un officier de l’armée israélienne opérant à Jabal al-Cheikh à la frontière avec le Liban a déclaré que « si Nasrallah fait du mal à un soldat israélien, cela coûtera cher pour le Hezbollah ».
« Le Hezbollah est toujours à la recherche de moindre opportunité et publie des images de véhicules de l’armée sous forme de jeux de guerre psychologique », a rapport le site Walla.
L’armée israélienne est toujours en état d’alerte sur la zone frontalière entre le Liban et la Palestine occupée et les observateurs prévoient que des opérations devraient avoir lieu dans un proche avenir et conduiraient à plusieurs jours de conflit.